L’amère « Jéjé » très énervée :)

by poilagratter, 12 mars 2024

Merci par avance avant de lire le présent article, de lire sur notre site le précédent portant sur la demande de dépôt de plainte pour discrimination contre le Rédacteur de l'Eclair (lire l'article).

Le dit rédacteur de l'Eclair n'étant probablement pas, comme les arnolphien(ne)s au conseil municipal, autorisé "à l'ouvrir"/à s'exprimer... et en final à exister, ben c'est "maman Jéjé" très énervée qui a adressé en retour de l'information de la demande dépôt de plainte un courrier à notre association. Un petit "Bêta bloquant" l'aura aidé nous l'espérons à la suite de sa rédaction à lui engendrer une tachycardie potentiellement létale, à redescendre sur Terre sans trop de séquelles.

lire le courrier

Un individu mature, compétent à occuper un poste de maire aurait résumé la situation en quelques mots hypocrites politiquement choisis.

Par exemple: "Nous accusons réception de votre courrier du ... nous informant de votre demande de dépôt de plainte à l'encontre du Rédacteur de l'Eclair. Vous y faites mention de votre étonnement concernant l'absence de publication dans l'Eclair du mois de janvier de la date de la réunion que vous organisiez le ... . " Et puis après, une excuse bidon dont nos politicen(ne)s professionnel(le)s ont le secret sur "qui a pris la décision de ne pas publier" et "la raison de cette non publication".  Un "cordialement" et une signature, et pour la mairie l'affaire était bouclée.

Mais notre "Jéjé l'énervée" n'est pas encore à ce niveau de maturité politique...

Revenons sur la dite lettre de notre éminente maire et qui révèle à notre sens plusieurs informations quand "on lit entre les lignes".

Deuxième paragraphe. On y voit la vraie et unique raison du refus de publication dans l'Eclair de l'information concernant la réunion publique que nous proposions: "on embête et on contrarie l'équipe en place", on est méchant-vilain (mais dans le respect des lois comme l'attestent les plaintes de notre maire à notre encontre restées sans suite)  .

Suggérons ensuite à Madâme le maire, de comprendre une chose qui visiblement n'est pas à l'instant de la rédaction du présent article, à sa portée :). Les personnes ont des existences et responsabilités différentes dans leur vie personnelle, associative et professionnelles.

Mais notre bonne maire pensant encore régler des comptes dans sa cour de récréation d'école primaire ne fait pas la différence entre les personnes et les différents statuts/responsabilités qu'occupent ces personnes.

Les poursuites jusqu'à ce jour déposées contre "la maire de Saint Arnoult" l'ont été contre "la maire de Saint Arnoult" en non "Mme Joêlle Jégat" en son non propre bien sûr. Joëlle Jégat quand elle a fait voter à ses moutons municipaux une protection juridique, c'est pour Joëlle Jégat en tant que maire et seulement en tant que maire, et pas pour la citoyenne Joëlle Jégat dans son jardin ou sa salle de bain. Avant qu'elle comprenne la différence entre personne et fonction... y a de la marge.

Avant dernier paragraphe de la première page: "Je vous rappelle qu'en sa qualité de rédacteur, Monsieur Mainvis n'a pas la responsabilité de la ligne éditoriale et de son contenue...". Ben voila, c'est la qualité de Rédacteur de l'Eclair de Mr Mainvis qui est concernée, pas d'employé municipal qui n'est aucunement attaquée par nos soins, merci d'ainsi le reconnaître Mudâme le maire.

Cher Rédacteur, le moindre des respects à porter à ses semblables dans ce cas, aurait été de prévenir l'association de l’ "impossibilité" de publication de la date de réunion et du pourquoi de cette "impossibilité" pour éviter que cela ne se reproduise... mais non, rien, le demandeur, l'association Comités de Quartiers semble en dehors de toute considération... dans tous les cas c'est irrespectueux. Vous êtes irrespectueux Monsieur de Rédacteur.

Dernier paragraphe de la page 1: "En conséquence vos accusations et votre saisine M'APPARAISSENT infondées...". On apprécie le libellé choisi par "Jéjé l'énervée" (ou de l'inintelligence artificielle à qui notre maire a demandé de la faire :)). Avec le "m' " Joëlle Jégat s'attribue en nom propre que les accusations "apparaissent infondées". On se demande bien pourquoi notre bonne maire n'a pas écrit ou fait écrire "En conséquence vos accusations et votre saisine SONT infondées...". Une opinion plutôt qu'une certitude, ce n'est pas un hasard :).

Notre maire conclu : "je vous prie à l'avenir d'adresser vos demandes à l'attention du maire et non à un agent, dans la perspective où vous souhaiteriez les voir aboutir favorablement". Une fois de plus on ne s'adresse pas à un agent municipal mais au Rédacteur de l'Eclair. On passe sur l'utilisation absurde du conditionnel "souhaiteriez" pour voir aboutir nos demandes. Là où on veut en venir c'est qu'à plusieurs reprise, alors que la demi heure d'expression citoyenne en fin de conseil municipal existait toujours, la maire, son premier adjoint et l'adjoint à la sécurité ont répondu aux demandes (il est vrai dérangeantes pour eux/elle) du président de l'association Comités de Quartiers par "on ne répondra plus à vos questions !"...  nous devrions donc adresser nos demandes à une personne qui assure ne pas vouloir y répondre !

Ubu maire, c'est à Saint Arnoult !

Mais qu'en est il de la façon jusqu'à présent validée par la mairie pour donner l'opportunité aux arnolphien(ne)s de s'exprimer/communiquer dans l'Eclair ? information prises à diverses sources la réponse données a été "il faut envoyer les demandes à Mr Mainvis..." (en tant que rédacteur et non employé municipal). Ah ? un nouvel élément confirmant la suspicion de discrimination envers (entre autres) l'association Comités de Quartiers ? L'association Comités de Quartiers doit adresser ses demandes au maire mais les autres arnolphien(ne)s et associations peuvent/doivent le faire à Mr Mainvis.  L'Egalité "Made in Jéjé l'énervée".

Nous avons adressé un courrier en mairie pour que la démarche de demande de publication dans l'Eclair soit écrite dans l'Eclair d avril... comme ça tout le monde aura (si publication il y a) la même information.

courrier démarche demande de publication l'Eclair

... mais peut être que faire la demande le 02 (mars) du mois précédent (avril) est déjà trop tard ?  un nouvel élément à mettre dans notre dossier de discrimination ? 🙂

En conclusion de la lettre de "Jéjé l'énervée":

- A-t-elle précisé clairement pourquoi la demande de publication de l'association Comités de Quartiers n'a pas été suivie d'effet ? NON

- A-t elle dégagé clairement le rédacteur visé par la demande de dépot de plainte de sa responsabilité sur la non publication ? NON. Elle lui laisse ainsi garder la responsabilité de cette démarche supposée discriminatoire et il (mais aucunement notre maire dans ce cas) aura le cas échéant la responsabilité de s'expliquer auprès de la gendarmerie.

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